jeudi 25 octobre 2012

Mc 10, 46-52


Trentième dimanche du temps ordinaire
Fr. Benny Vincent, capucin


« Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »
Un cri du coeur s'est levé du bord du chemin à Jésus qui était sur la route.
C'était Bartimée, un mendiant aveugle,
qui portait en lui un désir incessant pour la lumière.

Mc 10, 46-52

Trentième dimanche du temps ordinaire
Fr. Benny Vincent, capucin





« Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »
Un cri du coeur s'est levé du bord du chemin à Jésus qui était sur la route.
C'était Bartimée, un mendiant aveugle,
qui portait en lui un désir incessant pour la lumière.

lundi 22 octobre 2012

DIMANCHE MISSIONNAIRE MONDIAL-2012


EN IMAGES: DIMANCHE MISSIONNAIRE MONDIAL-2012
Merci à nos soeurs Missionnaires Notre-Dame des Anges

pour l'animation de nos célébrations.























HÉRITIERS, HÉRITIÈRES DE LA PAROLE DE DIEU…
DONNONS À BOIRE À NOS FRÈRES ET SŒURS

mardi 16 octobre 2012

Serviteur du Christ

Vingt-neuvième dimanche du temps ordinaire
P. André Gagnon, s.j.

Voici deux jeunes hommes… fils du pêcheur de Bethsaïde, petit port du bord du lac de Tibériade.  Leur mère est sans doute Salomé, la sœur de Marie, mère de Jésus.  La coutume naturelle, dans la civilisation orientale, veut qu'on utilise les privilèges de la parenté; Jacques et Jean trouvent donc normal de solliciter leur cousin pour que le « clan » participe à la réussite d'un des leurs.  Leur demande est précise, ils veulent les bonnes places; ils sont toujours dans le rêve d'un messianisme glorieux.  Le Messie, pour eux, c'est celui qui va triompher contre l'occupation et tout régler par sa puissance.  Par ses questions, Jésus essaie alors d'amener ses disciples à passer de la pensée d'un « messie glorieux » à celle d'un « messie serviteur », qui est humble et qui marche sur nos chemins et nous conduit au Royaume.

jeudi 11 octobre 2012

L'argent et la liberté

Vingt-huitième dimanche du temps ordinaire
André Beauchamp


Nous vivons, comme chacun sait, dans une société de consommation.  Fini le temps des avaricieux qui conservaient jalousement leur argent dans quelque bas de laine ou coffret bien caché.  Hors les spéculateurs (qui ne manquent pas toutefois), les gens n'entassent pas leur argent.  Ils le dépensent et même s'endettent.  Mais qu'on le cache ou le gaspille, l'argent reste le maître de nos vies.  Pour être quelqu'un aujourd'hui, il faut consommer.  Consommer pour épater, pour être vu, pour avoir les gadgets à la mode.  Et c'est ainsi, insidieusement, que l'esclavage se crée, que l'argent devient le seul critère de la vie politique, sociale et personnelle.

mardi 2 octobre 2012

Dignité de chaque être humain

Vingt-septième dimanche du temps ordinaire
Fr. Manual Pylee Thachuthara, capucin


L'évangile d'aujourd'hui nous présente un enseignement de la plus haute importance sur la vie familiale et fraternelle. Le mariage, dans le plan de Dieu, c'est quelque chose de beau, de sérieux, qui doit se construire au jour le jour. C'est plus qu'un contrat, c'est une alliance. Jésus mentionne que dans le mariage, la réciprocité doit être totale : les hommes et les femmes ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. «Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre…» «Si une femme répudie son mari et en épouse un autre…» - Le droit juif ne permettait qu'à l'homme de divorcer, le droit romain permettait aux deux partenaires de le faire! Dans saint Marc, Jésus utilise le droit romain.