mercredi 28 septembre 2016

On est tout seul en bas!

Vingt-septième dimanche du temps ordinaire
Frère Jacques Bélanger, capucin
  
Deux enfants  de quatre et six ans  se font garder par  leurs grands-parents, pour une fin de semaine. Le dimanche matin, ils se lèvent tôt et descendent jouer, en attendant que les grands-parents les rejoignent. Mais ces derniers font la grasse-matinée. Les enfants leur crient alors : «Grand-papa, grand maman, descendez, on est tout seuls en bas.»

mercredi 21 septembre 2016

La fête de Saint Padre Pio 
Fr Jacques Mathieu, capucin
La fête de Padre Pio revêt un éclat spécial en cette année de la Miséricorde, puisque son corps ainsi que celui de saint Léopold Mandic ont été amenés à Rome pour y être vénérés. Saint Padre Pio et saint Léopold Mandic nous sont donc proposés comme modèles de confesseurs « miséricordieux ».

mercredi 14 septembre 2016

Quel enseignant, ce Jésus!

Fr. Clifford Cogger, capucin
Vingt-cinquième dimanche du temps ordinaire

 Tout en écoutant ce que Jésus leur disait, les auditeurs devaient scruter les yeux pétillants -et peut-être un peu malicieux- de Jésus; Lui devait regarder les leurs, grand ouverts et captivés par l'étonnant message qu'il leur livrait. Le conte est tout simple. C'est leur histoire ou celle de quelqu'un qu'ils connaissent bien; celle d'un homme avisé qui devant sa mise à pied tient à assurer ses lendemains. «Tous les moyens sont bons pour sauver sa peau»! Il dit tout haut ce qu'ils pensent tout bas!

mercredi 7 septembre 2016

Dieu cherche les perdus

Vingt-quatrième dimanche du temps ordinaire
Fr. Gervais Doumta, capucin

Dans la liturgie de ce dimanche, nous lisons en entier le chapitre 15 de l’évangile de saint Luc qui contient les trois paraboles dites de la miséricorde : la brebis perdue, la pièce d’argent perdue et l’enfant prodigue. Ces trois paraboles s’adressent aux Pharisiens et aux scribes qui reprochent à Jésus de manger avec des pécheurs.  Le but essentiel de ces paraboles, surtout celle de l’enfant prodigue, est d’inviter les pharisiens et les scribes à se montrer plus bienveillants envers les pécheurs. Mais pourquoi donc Jésus qui, en d’autres circonstances, se contente de dire qu’il est venu pour les pécheurs et non pour les justes, se fatigue-t-il à ce point devant le commérage des chefs religieux ?