mercredi 24 juin 2015

Pleine de vie, la mort de la petite!

Treizième dimanche du temps ordinaire
Frère Clifford Cogger, capucin
 
  
L'évangéliste Marc a le don de nous faire vivre les événements qu'il nous relate. On a l'impression d'être là. On savoure à plein.
 
Jaïre, le chef de la synagogue, supplie Jésus instamment. Sur le champ, Jésus part avec lui.
 
La femme qui avait des pertes de sang depuis douze ans n'ose parler à Jésus. Sa maladie la rend impure et rendrait impurs ceux ou celles qu'elle aborderait. Ce qu'elle veut? Simplement toucher au vêtement de Jésus. Quelle foi! Les nombreux traitements reçus -et ils ont épuisé ses sous – n'ont donné aucune amélioration. Les médecins n'y peuvent rien.  Mais Jésus, lui?
 
La petite fille de Jaïre doit la vie à la foi de son père. «Lève-toi» lui dit Jésus. Le Maître de la vie est toujours présent quand on le Lui demande.
 
Quant à la femme malade, Jésus lui dit tout simplement et probablement avec un beau sourire; «Va en paix et sois guérie de ton mal.»
 
Ces deux récits sont tout simples et tellement riches de leçons salutaires. Jésus ne cherche pas le sensationnel. Il n'a que faire du tralala. Il est là pour guérir et répondre à ceux et celles qui lui parlent.
 
«Il est grand le mystère de la foi»!
 
Il est sûr, l'ami Jésus!
 
Frère Clifford Cogger, capucin
 
 

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