La bonne porte (Luc 13, 22-30)

Vingt-et-unième dimanche du temps ordinaire

Laurette Lepage

«N'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés?»  À chaque époque, nombreux sont les chrétiens qui se posent et se reposent la question de la destinée … Mais à ces spéculations, Jésus ne répond jamais directement.

Jésus vient apporter le feu!

Vingtième dimanche du temps ordinaire

Fr. Manual Pylee Thachuthara, capucin

«Je ne suis pas venu établir la paix mais la division», dit Jésus.  Ceux et celles qui croient assez en Jésus pour s'engager profondément à sa suite, doivent s'attendre à être traités comme l'ont été les prophètes, et comme le Christ lui-même l'a été. Là où il est accueilli, l'Évangile apporte la paix et la joie. Mais là où il est refusé, il engendre la division. Car les hommes droits qui refusent une diplomatie mensongère se font rarement aimer. Ils dérangent ceux qui font marcher la société par des mensonges, car les menteurs n'aiment pas les paroles qui disent la vérité. Les injustes n'aiment pas la présence des justes, quand ces derniers dénoncent la publicité frauduleuse, quand ils dénoncent les modes superficielles, quand ils refusent le viol des consciences au nom de la liberté. Les exploiteurs ne prisent pas ceux qui les dénoncent. Ceux qui ont le cœur dur se tiennent loin de ceux qui invitent au pardon. Ceux qui rêvent d'une vie facile, et qui courent après la richesse, n'aiment pas qu'au nom de Dieu, on les invite au partage, à l'oubli, et au don de soi.

Tous, enfants d'un même Père !

Dix-neuvième dimanche du temps ordinaire

Fr. Alain Picard, capucin

         

Aujourd'hui, la deuxième lecture nous révèle une grande réalité qui devrait guider et transformer toute notre vie:  ''Nous sommes tous, enfants de Dieu''.   On nous raconte la naissance du peuple juif, la nation dans laquelle Dieu a choisi de venir partager notre nature humaine, pour nous sauver.   La première exigence de Dieu envers Abraham, notre premier ancêtre dans la foi, fut l'obéissance à sa parole.  Abraham a cru et  il a obéi aveuglément même dans les situations humainement impossibles.  Dieu les a guidés et sauvés dans toutes leurs épreuves.

L'illusion de la richesse !

Dix-huitième dimanche du temps ordinaire

Fr. Gervais Doumta, capucin

Le message essentiel de l’évangile de ce 18ème dimanche du temps ordinaire est centré sur la richesse. Ce message est tellement clair qu’en réalité on n’a pas besoin d’une quelconque interprétation pour en savoir plus. Car, lorsque Jésus attire notre attention sur l’illusion de la richesse en disant : « Gardez-vous bien de toute âpreté au gain ; car la vie d’un homme, fût-il dans l’abondance, ne dépend pas de ses richesses », il reconnaît en même temps nos appétits pour la richesse et le risque que nous courons en voulant à tout prix nous enrichir.

« Le Notre Père : c’est pour tout le monde. »

Dix-septième dimanche du temps ordinaire

Fr. Théogène Manohiraza, capucin

Le Notre Père est une très belle prière qu'on peut réciter seul, ou encore avec d'autres personnes.  Avoir un père commun, c'est aussi comprendre notre fraternité commune.

Seizième dimanche du temps ordinaire

Fr. Josy Mullassery, capucin

Nous avons aujourd'hui un beau texte d'évangile qui nous parle de l'accueil  de Jésus. L'accueil, c'est un don sacré que l'on retrouve dans le cœur des peuples croyants : l'accueil du visiteur, l'accueil de l'étranger.

Quelle mouche t'a piqué?

Quinzième dimanche du temps ordinaire

frère Jacques Bélanger, capucin

  

«Un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de l'homme blessé; il le vit et fut saisi de pitié. Il s'approcha, pansa ses plaies … » (Luc 10, 25-37)